Dans l’émission Ferry / Julliard du vendredi 3 juin animée par Jean-François Rabilloud et diffusée sur LCI, Luc Ferry a fait l’éloge de mon dernier livre dans les termes suivants : « Le titre est très bien choisi. C’est à ma connaissance, peut-être avec le livre d’André Gérin qui s’appelle “Les ghettos de la République”, André Gérin je le rappelle est le maire communiste de Vénissieux ; c’est le meilleur livre, je trouve, que j’aie lu sur ces sujets et c’est un livre, je ne suis pas toujours d’accord avec elle, mais c’est vraiment un livre qui parle de la réalité, des faux-semblants, des fausses solutions et de la réalité de ces banlieues qu’on connaît si mal vu des centres-villes, et je trouve que Malika Sorel, elle a beaucoup de courage de dire ce qu’elle dit dans cet ouvrage. C’est vraiment, encore une fois, avec le livre de Gérin, le meilleur livre que j’aie lu sur la réalité réelle, si je puis dire, des banlieues. Elle connaît très bien. Elle sait exactement de quoi elle parle et elle en appelle évidemment à… [Luc Ferry n’a pas fini sa phrase], alors elle est extrêmement républicaine. C’est vraiment quelqu’un qui est dans l’idée républicaine à fond, qui est dans la logique de l’intégration – presque de l’assimilation – à fond, mais surtout, ce qu’elle raconte sur la réalité de ces banlieues est tout à fait, tout à fait, j’allais dire, inédit, vraiment elle dit la vérité, voilà. C’est un livre formidable parce qu’à la fois il est très dur, et en même temps c’est écrit par une femme qui est vraiment démocrate républicaine. On n’est pas ni dans le Front National ni dans la démagogie, et donc elle est vraiment, vraiment passionnante ! »
Marc Bloch, l’Étrange défaite, septembre 1940 :
« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».