« La repentance dresse une partie des immigrés contre la France »
Par Alexandre Devecchio
EXTRAITS EXCLUSIFS - « Sans la France, je suis apatride. Je fais partie de ceux qui ne sont que franco-français ou franco-rien d’autre », écrit Malika Sorel dans Les Dindons de la farce (Albin Michel), dont nous publions les bonnes feuilles.
Malika Sorel a fait le choix de l’assimilation par amour de la culture et de l’histoire française. Elle regrette que les élites dirigeantes qu’elle a côtoyées lorsqu’elle était membre du Haut Conseil à l’intégration aient renoncé à défendre notre modèle de civilisation. Au contraire, selon elle, par leur refus de stopper l’immigration, leur course à la repentance et leur politique de discrimination positive, ces dernières sont responsables de la communautarisation de la société.
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Les passages de Romain Gary sont issus de Chien blanc.