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Politique - Page 31

  • Que faire ?

    Merci Demos, d’avoir pris le « risque » d’écrire, comme vous dites : « Ce que je tente de dire, c’est que l’intégration ne marchera pas, ne marchera absolument jamais, si les Français ne se remettent pas à aimer leur pays et à être fiers de leur héritage à la fois républicain, culturel et historique. » Nous sommes en phase. Affirmer et exprimer leur amour de la France et de leur héritage, les Français en ont été empêchés, comme je l’explique dans mon ouvrage.

    L’enjeu est, et va être, de faire « sauter » (pacifiquement, démocratiquement) tous les verrous qui empêchent les Français d’être eux-mêmes et de relever enfin la tête. Au nombre de ces verrous, je compte les très nombreux médias qui sont devenus des organes de diffusion d’une propagande de détestation, de dénigrement et de rejet de l’identité française ; je compte aussi une partie non négligeable des hommes et des femmes politiques qui non seulement ne protègent plus les Français, mais pire, les mettent en danger. Pour toutes ces raisons, je suis convaincue que notre époque a besoin, comme à d’autres époques — celle de la Résistance par exemple — qu’une majorité d’enfants de France, d’où qu’ils viennent, s’engagent au quotidien à servir l’idéal français. Ce qui signifie, très concrètement, de se faire violence et oser se regarder dans la glace, de regarder ses concitoyens pour réaffirmer cette évidence : « oui, nous sommes Français et nous souhaitons participer à enrichir l’identité française, comme ont su le faire nos ancêtres, génération après génération, et non appauvrir notre identité ».

    Chaque enfant de France qui comprend que notre pays est désormais en danger doit s’engager à exercer une pression sur les hommes et femmes politiques. Pour cela, il est nécessaire d’entrer en contact avec eux, de leur dire ou de leur écrire, très sereinement, ce que vous pensez et ressentez. Posez-leur des questions. Aidez-les à réfléchir, tout simplement, car nombre de politiques ne réalisent même pas qu’ils sont en train d’étouffer la France. La plupart n’ont peur que d’une seule chose, c’est de ne pas être élus ou réélus ; ainsi, nous avons à notre disposition un formidable outil de pression sur eux. Apprenons, quelle que soit l’élection, à les juger sur leurs actions et prises de positions politiques en faveur de ou contre l’idéal français qui est, dans les faits, la traduction de l’identité française. Ne les jugeons plus sur leur étiquette de parti car, en ce qui concerne le respect et la protection de l’idéal français, cela n’a strictement aucun sens. C’est ainsi que nous pourrons éjecter de notre classe politique tous ceux qui participent à scier la branche sur laquelle le peuple français est assis, donc tous les communautaristes (les adeptes de la discrimination positive et du comptage ethnique) ; tous ceux qui propagent l’idéologie de la repentance et de la culpabilité du peuple français (les adeptes des lois de lutte contre les discriminations, qui font de chaque Français de souche européenne un raciste en puissance) ; les adeptes de l’allègement des contenus des programmes scolaires et des concours, qui font passer à la trappe, chemin faisant et l’air de ne pas y toucher, une partie des références culturelles françaises… C’est à ce prix que nous pourrons de nouveau un jour respirer et retourner à nos occupations quotidiennes, et de nouveau confier en toute tranquillité les clés de notre destin collectif à la classe politique.

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  • Un signe...

    Je suis là, bien là. Comme vous, je suis l’actualité et je m’interroge :

    Qu’appelle-t-on « moderniser la France » lorsque nombre d’actions politiques menées aboutiront, sans l’ombre d’un doute, à la ramener au Moyen-Âge ?

    Quelle différence essentielle existe-t-il entre le Moyen-Âge et l’ère moderne ? Nous pourrions discourir pendant des heures de cette question mais, à mes yeux, la différence majeure réside dans la Liberté. Les êtres sont libres dans les sociétés modernes. Les êtres sont esclaves ou soumis à la loi du groupe dans les sociétés moyenâgeuses. Cette liberté signifie, pour les individus, la maîtrise du choix de leur destin. C’est la liberté de pensée et de jugement qui permet de repousser sans cesse les portes de l’imaginaire et du possible. C’est cette liberté qui est le sein nourricier de l’innovation. Il n’y a pas vraiment de mystère au sous-développement des sociétés qui se trouvent encore à l’ère moyenâgeuse, car le sous-développement y est la conséquence de la limitation des champs du possible pour la créativité des hommes.

    La régression de la France vers le Moyen-Âge, voilà pourtant ce qui est désormais en marche. Comme vous, j’assiste donc au film d’horreur auquel les Français sont, bien malgré eux, conviés. Les scènes de ce film, dont on se passerait bien, se succèdent sous nos yeux :

    * La laïcité que Nicolas Sarkozy souhaite assassiner, en la remplaçant par une laïcité qui n’a de « positive » que le nom ; adjectif utilisé pour endormir les Français, pour ne pas dire les duper. Peut-être Nicolas Sarkozy n’en a-t-il même pas conscience ? Mais peut-on se résigner à accepter que celui qui a la responsabilité de guider le peuple vers un monde meilleur, lui prépare finalement l’obscurantisme ? Non, il faut tenter de lui faire entendre raison et espérer encore et toujours que la grâce de la sagesse du respect du noyau identitaire français finisse par le toucher.

    Notre laïcité que Madame Alliot-Marie piétine en appelant les représentants des religions musulmanes et juives à calmer ceux qui partagent leur même croyance religieuse, au moment où explose le conflit israélo-arabe. C’est elle, représentante de l’État français, qui demande aux religieux de se mêler d’affaires qui sont du ressort de l’État. Un État qui démissionne de lui-même de ses responsabilités ? Qu’est-ce qu’un Ministre de la République qui envoie le signal que certains Français ne seraient plus accessibles à la parole de l’État français, mais le seraient à la parole de religieux qu’il érige, chemin faisant, en détenteurs d’un pouvoir politique ? Triste retour à des périodes sombres de l’histoire en perspective. Il suffirait pourtant que nos politiques observent ce qui se produit, aujourd’hui même et donc sous leurs yeux, dans tous les pays où le pouvoir religieux exerce un pouvoir politique. Tant d’irresponsabilité et de mise en danger de la société française est inacceptable !

    * L'indivisibilité du peuple de France que l’on souhaite remplacer, de force, par un comptage ethnique auquel s'attelle Yazig Sabeg, nommé par Nicolas Sarkozy, aidé en cela par le parti socialiste qui a déposé une proposition de loi en ce sens — proposition défendue par Georges-Pau Langevin. Évoquons ici aussi la liberté. Peut-on encore parler de liberté lorsque l’on enchaîne définitivement les êtres, de par leur naissance, à des groupes ethniques ou raciaux ? C’est ici que les tenants du droit du sang exclusif et les communautaristes se rejoignent. Pour ces deux groupes, l’identité n’est pas dynamique, mais figée à la naissance. Elle est le seul fait de la biologie ! Le débat récurrent entre l’inné et l’acquis…

    L’idée qu’à la seule lecture de mon prénom on puisse me coller dans une case « minorité » ou « diversité » m’est proprement insupportable, car cela représente la négation de ma liberté de choix d’identité. Tant de souffrances pour en arriver à ce que les représentants de l’État français bafouent la LIBERTÉ ! Tout cela ne ressemble pas à la France, et n’est pas la France.

    Que cache, par ailleurs, cette volonté de faire disparaître l’indivisibilité du peuple de France ? Elle cache une farouche volonté de tuer le mérite républicain afin que naisse, officiellement, la discrimination positive !

    * Cette discrimination positive, dont la naissance est cachée aux Français, mais qui est de plus en plus appliquée en France, et donc aux Français. L’image qui me vient à l’esprit est celle d’un hold-up à visage masqué. La République prise en otage ? Mais par qui ? Par l’État français, oui, par l’État français !
    De plus en plus d’entreprises sont invitées à prendre en compte l’origine ethnique ou raciale dans leur recrutement ou leurs promotions, de même les radios et télévisions. Sommées par qui ? Par l’État français !
    L’enseignement supérieur est lui aussi sommé de mettre en œuvre des voies d’accès parallèles qui ne s’appuient pas sur le seul mérite. Par qui ? Par l’État français (ici Valérie Pécresse).

    * Autre scène de ce film cauchemardesque : les concours de la fonction publique voient disparaître l’exigence minimale de connaissance de culture française. Des fonctionnaires censés représentés l’État français, donc la France, qui ne maîtriseraient pas un minimum de culture française ? Qui est l’auteur d’une telle ignominie ? Encore une fois, l’État français.
    Ne vous trompez pas : la culture générale n’est pas un luxe, car elle est, pour les enfants issus de l‘immigration, la seule voie d’acquisition de la culture française, et donc des principes et valeurs sans lesquels ils ne pourront jamais devenir Français. Comme pour l'imposture de l'ascenseur social, on dupe ici les familles de l'immigration en leur laissant penser que la communauté française reconnaîtrait comme français ceux qui ne possèdent pas la culture française.

    J’ai lu, parfois, que j'ignorerais des pans entiers de l'histoire de France, car je la réduirais par trop à 1789. Posez-vous la question : la France de 1789 aurait-elle pu voir le jour si tout ce qui avait précédé n'avait pas existé ? Et dans ce « tout » je place, bien entendu, tout l'héritage des Français, sans aucune exception des pages de son histoire.

    Je n'écris plus beaucoup, en ce moment, mais jamais la France n'a autant occupé mes jours et mes nuits. J'ai la chance d'être animée par une passion qui me dépasse. Ne me demandez pas pourquoi j'aime autant la France, car l'amour ni se s'explique, ni ne se résume. Je ne me bats contre personne, mais je me bats, aux côtés d’autres Français, dans l’unique but que soit un jour à nouveau reconnu, aux Français, le droit d'être Français et d’être fiers de l’héritage français. Cela passera nécessairement par le fait que l’État français comprenne que la seule mission que lui délègue le peuple français est celle de servir la République, et non de tenter de la lyncher. Le sujet est suffisamment grave pour que tous les enfants de France s’engagent, au quotidien, à œuvrer à ramener l’État français à la raison d’État.

    Catégories : Politique
  • La France a besoin de lucidité et de cohérence !

    Cher Bernard, vous me demandez ce que je pense de l’article de Seybah Dagoma paru dans Libération du 17 février, et surtout si ce qu’elle avance ne viendrait pas contredire les propos tenus par Jacqueline Costa-Lascoux.

    Voici ma réponse : il m'est toujours insupportable de voir les « notables » s’étonner que des groupes qui renvoient au reste de la population une image négative et qui fait peur, ne soient pas invités autant que les autres à des entretiens d’embauche. J’en ai longuement parlé dans mon ouvrage, c’est sur l’amélioration de l’image qu’il est urgent de travailler. Cela ne s’obtiendra pas avec la fabrication d'icônes gouvernementales ou audiovisuelles (Dati, Yade, Amara,  Roselmack…) ; non, ça n’est là que de la diversion, et démontre le refus de reconnaître la réalité du problème de l’insertion et de l’intégration dans notre société. Travailler sur l’amélioration de l’image, c’est enseigner aux enfants issus de l’immigration et à leurs familles (ces parents que l’on oublie toujours, on se demande bien pourquoi), que l’on ne peut bafouer les principes qui régissent la société française sans courir le risque d’en payer le coût et d’en subir tôt ou tard les conséquences. Il faut également rappeler certaines vérités, à savoir que l’ascenseur social n’a jamais existé dans notre pays, et que la réussite y est un long parcours jalonné d’obstacles. Les familles françaises de souche européenne savent bien tout cela. J’ai eu à travailler dans le monde des hautes technologies, où seule primait la compétence, et où les considérations misérabilistes liées à la diversité ne venaient pas polluer les équipes. Vous y étiez recruté sur la base de vos capacités techniques, mais aussi de votre faculté d’adaptation et d’insertion dans le groupe déjà existant…

    En ce qui concerne l’intégration, la question des moyens est absolument epsilonesque, c’est-à-dire négligeable. Les « spécialistes » d’une prétendue diversité qui ont passé leur temps à exiger de la France davantage de moyens, ont participé à ruiner notre pays et à le mener au bord du gouffre. L’économiste Jean-Paul Fitoussi, Président de l’Observatoire Français des Conjonctures Économiques, a dit, lors d’une émission du journaliste Benoît Duquesne[1] qui avait pour invité Jean-Louis Borloo, qu’une part substantielle de la dette française accumulée ces trente dernières années étaient imputables au poste « banlieues ».

    Dans la crise économique et financière qui secoue le monde, la France n’a strictement aucune chance de s’en sortir si elle ne se fixe pas comme objectif de mener le plus grand nombre de ses enfants vers l’excellence en vue de créer les produits de demain. Nous devons d’urgence renouer avec le modèle républicain qui prône la reconnaissance du seul mérite et de l’effort individuel et collectif. Comment espérer qu’un enfant puisse réussir de manière réelle, et non factice, si notre société réduit sans cesse son niveau d’exigence, et si notre classe politique détourne l’attention de l’opinion avec des mauvaises solutions qui couleront à terme le navire France ? À ce titre, le commissariat de Yazig Sabeg institué par Nicolas Sarkozy doit être supprimé. Si vous souhaitez un avis direct sur cette question, je vous dirai sans détour que Nicolas Sarkozy a trahi les Français qui ont voté pour lui. Il s’est fait élire sur la base de promesses liées au respect de ce qui fonde l’identité du peuple français et n’a eu de cesse, depuis lors, de mettre en œuvre des mesures qui sont de véritables bombes à retardement. J’en sais quelque chose, puisque je passe une grande partie de mon temps à motiver des députés et des sénateurs pour faire tomber des articles de textes de loi qui sont dangereux pour le maintien de la cohésion nationale. Dernier en date, la tentative d’introduction de la discrimination ethnique et raciale dans la loi sur l’audiovisuel.

    À présent, réponse à ceux qui m’écrivent régulièrement pour me dire leur détresse de ne pouvoir s’exprimer, alors que je le peux moi-même, selon eux, uniquement en raison de mon ascendance biologique : oui, cela est vrai, vous avez perdu votre liberté, et en êtes entièrement responsables ! Mais il ne nous faut pas nous arrêter à ce constat. La liberté, c’est véritablement le joyau à reconquérir, et c’est de manière démocratique que nous devons y parvenir, car il faut nous attacher à ce qu’aucun mal supplémentaire ne soit infligé à notre pays. Cela ne vous rassurera pas, mais moi aussi je lutte sans cesse contre la censure, contre le pillage de mes idées que l’on attribue à d’autres (voir le rapport de la commission Veil, publié sur le site de la Documentation Française, qui attribue à Fadela Amara mes propos sur le maintien de la cohésion de la Nation et qui n'a, à ce jour, toujours pas incorporé le contenu de mon audition). Je suis exploitée sans véritable marque de reconnaissance, puisque l’on s’applique à faire en sorte que mes idées ne soient pas rendues accessibles au plus grand nombre. Les journalistes ouvrent largement leurs micros et leurs colonnes aux communautaristes, tandis que les défenseurs de notre modèle de société peinent à faire entendre leur voix. Certains jours, il m’est arrivé de vouloir baisser les bras, trop bouleversée par les souffrances infligées à la France sous les yeux de ses enfants bâillonnés. Puis je me ressaisis, et me dis que je n’ai pas le droit de me taire à mon tour. Alors je veux que dans votre désarroi, vous vous souveniez que nous partageons le même amour de la France, et que j’ai besoin de votre aide et de votre soutien pour continuer à avancer vers notre objectif commun : réhabiliter le respect de notre projet collectif de société.

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    [1] France 2, Complément d'enquête, « Banlieues : le feu est-il éteint ? », émission du 13 mars 2007.

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  • Supprimer la HALDE : un acte politique salutaire pour la paix civile !

    Voici ce que déclare Jacqueline Costa-Lascoux, directrice de recherches au C.N.R.S. mais surtout, pour le sujet qui nous intéresse ici, membre du Haut Conseil à l’Intégration, dans un livre intitulé « L’humiliation : les jeunes dans la crise politique » :

    « Les rapports de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Égalité (HALDE) et plusieurs enquêtes soulignent à juste titre le caractère inadmissible des discriminations dans le monde du travail. Il n’est pas question d’en nier la réalité. Toutefois, pourquoi analyser le refus d’embauche ou de stage sous le seul angle de la discrimination raciste ou ethnique ? L’expérience a été faite de tourner ces entretiens en vidéo pour ensuite en présenter les images aux candidats, aux employeurs, aux enseignants. Les résultats sont éloquents. Nombre de jeunes, par crainte ou par un sentiment de fatalité, arrivent en retard, habillés en jogging la casquette sur la tête, poussant la porte sans frapper, s’asseyant sans saluer sur le bord de la chaise le corps renversé comme pour regarder la télé, ne posant aucune question sur le travail mais en en rajoutant sur le salaire et les vacances… En face, la personne en costume pose des questions du type tests psychologiques ou psychotechniques, s’obligeant à rester dans une attitude raide de neutralité. Lorsque la scène est rediffusée aux protagonistes, les jeunes sont étonnés de leur “look” et sont les premiers à dire que s’ils étaient employeurs “ils ne se prendraient pas” ; quant à celui-ci, il comprend très vite l’inadaptation de son attitude à l’égard de jeunes qui n’ont jamais connu l’univers du travail salarié […] L’ignorance des codes sociaux et culturels au travail est l’obstacle le plus évident à l’embauche. Au lieu de crier immédiatement au racisme, il serait préférable non pas de raisonner en termes de catégories de populations mais en termes d’analyse de situations […] »

    Posons-nous la question de la véritable mission de la HALDE et des buts qu’elle poursuit. Observons pour cela son mode de fonctionnement. Pour assurer sa propre existence, la HALDE n’a d’autre choix que de voir des discriminations partout, quitte à les imaginer, comme le suggère l’intervention de Jacqueline Costa-Lascoux. Comment des hommes politiques « responsables » ont-ils pu concevoir un organisme qui crée chaque jour son propre travail, comme d’autres fabriqueraient leur pain quotidien ? Imaginez un instant les juges sortant de leurs palais de justice afin de scruter nos vies dans le but d’y débusquer leur propre pitance, à savoir des potentiels litiges qui alimenteraient leur « fonds de commerce » !

    Est-il un tant soit peu responsable d’avoir créé une structure telle que la HALDE, financée par le contribuable, qui s’ingénie à diviser le corps social de notre pays en dressant des catégories de personnes les unes contre les autres et en injectant, chemin faisant, haine et ressentiment des uns envers les autres ?

    J’attends avec grande impatience l’avènement d’hommes et de femmes politiques doués de raison, qui auront enfin le courage d’appeler à la disparition de la HALDE. Les discriminations, lorsqu’elles sont avérées, doivent être traitées par les juridictions déjà existantes, et jamais par une structure dédiée !

    Les Français doivent se résoudre à pardonner les erreurs politiques, car rien n’est jamais vraiment simple, mais ils doivent aussi apprendre à devenir intraitables avec ceux qui persévèrent dans l’erreur, quand tout concourt à leur démontrer que la France a été engagée sur une voie dangereuse pour le projet de société du peuple français. Notre époque appelle des hommes et femmes de courage et de responsabilité. Les autres auront tout loisir de revenir lorsque l’ambiance « légèreté et paillettes » sera de nouveau au rendez-vous !

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