Je vous fais partager mon bonheur qui est le vôtre, puisqu’il va nous permettre d’ouvrir une nouvelle voie de communication pour nos idées au service de la France. Jamais ni la France ni les Français ne quitteront mon esprit ; soyez-en toujours assurés !
Marc Bloch, l’Étrange défaite, septembre 1940 :
« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».