Un bonjour à mes chers lecteurs depuis mon lieu de vacances, la Grande Bleue. J’y ai assisté à un feu d’artifice. Nous étions des milliers assis sur le sable, quand la musique de la Marseillaise a retenti en préambule. Toute la plage s’est alors aussitôt levée, dans un même élan, et a entonné l’hymne national. J'ai pensé à vous. J’aurais aimé que vous soyez là pour voir et entendre cette spontanéité, qui atteste que les Français sont encore vivants, bien vivants. Nul besoin de vous dire ce que j’ai ressenti…
Marc Bloch, l’Étrange défaite, septembre 1940 :
« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé,
je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».